pitits poèmes

Vala alor sje savais pas ou poster donc on va dire ici et vu que je suis d'une humeur massacrante contre les gens surtout ce soir poster un peu me fera du bien... tadam taratadam lol (roulement de trompettes) bref alors j'ne ai tellement que je vai commencer par une histoire et un poème et chaque jour jen posterait un ^^

allons y et motiver

La petite fille était là, au fond de la pièce, dans un angle, recroquevillé sur elle-même, elle tremblait murée dans un grand silence. Elle prit son nournours et le serra contre elle pour se rassurer. Elle essayait d'oublier mais elle n'y arrivait pas, son esprit envahit par trop de souvenirs. Depuis plusieurs heures elle écoutait les avions passés au dessus du village qui commençait a tomber en ruine. Elle n'arrivait pas a refouler le sifflement si caractéristique des bombes tombant puis explosant. Le sol trembla encore une fois, elle jetta un regard affolé autour d'elle. Elle vit alors sa mère allongée par terre, elle ne bougeait plus et une marre de sang se dessinait autour d'elle. Elle laissa les larmes coulées le long de ses joues, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle n'osait plus bouger comme paralyser, elle lanca un regard dehors. Un silence de mort régnait dans la rue. Elle finit par se lever, le nounours toujours serré contre elle, comme quelqu'un qui pouvait la protéger. Elle s'avança vers sa mère, à petits pas hésitants essayant de refouler les larmes quand... Un sifflement se fit entendre, plus proche, plus fort que les précédents. Elle voulut crier mais n'en eu pas le temps, lla bombe explosa. La petite fille tomba à terre à coter de sa mère, ses cheveux blonds recouvrant son visage.
Au même moment, dans les tranchées se tenait un homme. Il sortis une photo jaunis et abimée par le temps, celle-ci représentait une petite fille blonde et sa mère souriantes. Il laissa sa vue s'embrumer par les larmes, il ne savait pas qu'elles étaient mortes. Il espérait qu'il pourrait bientôt les revoir, dès la fin de la guerre. Il laissa ses pensées dérivées vers elles. C'était une des raisons qui lui avait permis de tenir, de ne pas se laisser sombrer dans le désespoir, de résister, de se battre. Ses vêtements couverts de boue le genait mais il n'y preta pas attention. Il sortit de sa torpeur quand il entendit un crit qui annonçait l'assaut, il se redressa et rangea la photo dans sa poche. Il prit son fusil et s'élanca en suivant le mouvement. Il se mit a courir esseyant d'éviter les obstacles mais en plein élant, il tomba foudroyé par plusieurs balles mortelles.

voila merci a ceux qui pourrront me corriger des fautes et dites moi ce que vous en pensez. Ensuite voilou le poèmes.

Quand je suis venue vous voir,
Je vous aient supplier du regard,
Mais c'était sans espoir,
Mon monde devenait noir,
Je sombrais dans le désespoir,
Sans que personne ne puisse s'en appercevoir.

vala pareil dites moi ce que vous en pensez