[Jennyfer]petite course vidage d'esprit(libre)

A l'entrée de la ville, une jeune fille, une adolescente aux long cheveux raides, et d'un blond de la couleur des champs de blé. Mais dans ce monde, dans lequel cette adolescente qui portait le nom de jennyfer, ce monde dans lequel elle était tombée, le paraitre n'avait plus aucune importance. Du moins l'apparence avait une place beaucoup moins importante, que ce que Jennyfer avait connu, en vivant sur terre avant de mourir. Il est vrai qu'elle était totalement vétu de noir, et que cela pouvait vraiment choquer certaines personne, car la vue d'une personne habillé 'gothique' pouvait effrayer, car tout ce qui est nouveau ou qui sort de la norme pouvait choquer. C'est peut-être aussi pour ça que les jeunes dans la rue en groupe, effrayait, les adultes, pasqu'il avait des habits différent qu'il ne voulait pas adéré à la norme, et que par leur vetments ils montraient leur oppossition en se ressemblant finalement tous en fin de compte, et c'est pour ça qu'entre ils n'avaient plus peur les uns des autres, il y avait les fashion, les 'punk rock' et rarement des Gothique. Mais il y avait goth et goth, quelqu'un qui s'habillait entièrement de noir était considéré goth, alors qu'en fin de compte ce n'était pas sa. Jennyfer avait le look goth, elle s'habillait de noir, elle avait le teint souvent assez pale, et du noir généreusement inscrit autour des yeux, ça pour elle s'était le minimum, après il y avait des fois où il y avait plus. Bien sur elle avait toujours un truc autour du cou, des collier à pics ou autre, mais chacun sa personnalité. Ce qu'elle aimait bien aussi, c'était les truc qu'elle mettait aux main qui montaient jusqu'au coude, d'ailleur en ce jour elle en portait un du coté droit. Des mitaines disait-on que sa s'appellait, mais c'était pas vraiment sa, mais pour la jeune blonde cela n'avait pas grande importance que du nom. Elle aimait, en portait voilà tout. Quelles séquelles gardait elle de sa mort, pas beaucoup, elle ne la regrettait pas comme certains qui avaient pu mourir par accident puisque elle, elle avait décider, de mettre fin à ses jours, était est ce plus facile pour s'intégré avec ça, recommencer sur de nouvelles basses alors qu'elle aurait préféré que tout soit fini, c'était après tout peut-être plus difficile. Il est vrai qu'on pouvait voir pas mal de cicatrises sur ses bras, des entailles qui auraient eu besoin de point qui n'en avait pas eu, mais elle était comme sa, et cela soit on l'acceptait soit pas, mais a chacun de désider s'il voulait ou non, la supporter. Mais elle avait bien réussit à mettre fins à ses jours en s'entaillant les veines. Il fallait en endurer de la douleur, avant d'être sur qu'on allait se vider de son sang. Ne devant faire aucuns bruis, endurant une souffrance de plus en silence. Ayant fait ça elle s'habiturait surement à vivre ici, meme si elle n'en était pas sur, pour le moment elle essayait de survivre de ce qu'elle ne savait pas quoi, quelque chose qu'elle craignait, et qui se résumait a avoir peur de tout le monde, et de tout. Mais, cela changerait peut-être plus tard, elle se craignait meme elle meme, elle ne devait plus s'entaillé les poignets, elle devait apprendre à faire sans, c'était surement un conseil judicieux qu'on lui avait donné. Cela était pourtant des plus difficiles pour elle car, elle ne pouvait pas oublier toutes ses souffrances, et arreter ce qui la soulageait, sans avoir tout oublier. Il est vrai qu'elle avait très peu fait par rapport à son passé, mais elle n'avait pas pu le faire entièrement car en arrivant ici elle s'était senti obligé de recommencer. Il n'y avait eut personne pour lui dire de ne rien faire, et sa volonté de le faire face à celle de ne pas le faire avait été plus forte, et armé de son petit couteau, elle n'avait pas pu résisté. A présent elle avait le poignet entaillé dans le sens de la largeur, pour une fois une marque qui ne suivait pas ses veines, c'était peut-être un progrès, ce qu'elle voyait elle c'est qu'elle avait mal, et qu'elle n'arrivait à arreter complètement. Ce n'était pas la première antaille dans ce sens puisqu'elle avait commencer comme sa avant d'empirer, mais cela faisait très longtemps qu'elle n'avait pas fait comme ça. Elle ne dit rien, la jeune fille n'allait pas aprler toute seule bien qu'elle ne soit pas sur d'etre totalement seule. Elle n'était pas aller trop profond ça allait enfin il y avait profond pour quelqu'un et profond pour elle...En tout cas on ne pouvait pas dire que c'était bien joli joli. Elle n'avait jamais été le bonne exemple. C'est ce qu'elle pensait d'elle de toute manière, et c'était après tout un epu vrai, elle avait eu pas mal de problèmes de santé, c'était souvent entaillé, et en était finalement morte. Bien sur il n'y avait pas que ça mais jene vais pas m'attarder plus longtemps sur ses troubles du comportement qui sont nombreux et dont elle ne parle que très rarement. Toujours avec ses complexes malgrés qu'elle ne soit pas grosse voir plutot trop maigre, ne supportant pas le regard des gens. Ce regard qui finalement en un sens l'avait tué. Elle regarda le ciel. Il était d'un bleu éclatant, sans nuage sans rien d'un calme époustoufland. L'été arrivait et cela se voyait. C'était l'époque ou commençait la dégustation de cerises. Elle allait en cours et en rentrant de l'école elle allait dans un arbre, et mangeait les cerises juste rouge, les moins murs, celles de la couleur de son sang. C'est ce dont à quoi elle pensa en voyant le sang couler le long de sa main et des gouttes quoi tombaient au sol. Il y avait aussi les melons et toutes autres gourmandises que l'on se permet durant l'été. Mais l'été signifiait aussi les vacances, et pour Jennyfer les vacances n'était hélas pas une bonne période de sa vie.

Les cours n'ont plus ne l'avait pas été, mais le seul moment ou la vie lui avait accorder un répi c'était le moment où elle quittait son domicile et ou elle se renfdait en cours, son seul moment pour soufler. Le seul moment de pleine solitude ou il n'y avait personne qui la regardait, pas de parents sur le dos, le seul moment ou elle pouvait laisser aller ses larmes en paix. Son seul moment pour se libéré, loin de tout, et presque meme de sa souffrance. Pourtant cela n'avait pas sufft puisqu'elle était là aujourd'hui. Les larmes elle en avait tellement versés, mais personne n'avait été la pour les séché, personne n'avait su la soutenir au détriment de toutes les remarques, personne n'avait su quoi faire face à elle qui avait cette force de s'ouvrir les veines... Elle avait du rester seule, dans sa souffrance, sur la porte des toillettes de son bahu une fois elle avait eu l'audace d'écrire : "La pire des souffrances, est celle dans le silence..." C'était vrai pour elle, elle souffrait en silence, elle ne pouvait en parler à personne, elle s'était décider de ne plus en parler car tout ce qu'elle avait essayer de faire pour s'en sortir n'avait fait qu'empirer la situation, et jusqu'à un point ou elle n'avait plus pu remomenter la pente, mais sa est ce que quelqu'un s'en souciait à présent ?? Elle en doutait, si sa mort avait importer quelqu'un, les gesn seraient venu la voir avant qu'elle ne commette l'irréparable. Et ce n'est pas ce qu'il s'était produit loin de la. Les rares personnes qui se souciaient d'elle l'avait de plus en plus abandoné, l'enfonçant encore plus dans son grouffre. Car oui elle n'était plus dans un trou c'étant trop enfoncer, d'ailleur elle n'avait pas pu remonté la pente, elle devait etre trop abrute et savoneuse il faut croire. Pourtant qu'est ce qui avait fait qu'elle soit autant, hors norme, elle ne le savait pas. Elle était après tout une jeune fille comme toutes les autres, avec ses défaults et ses qualitées, nouvelle dans un collège, et exclu toute une année, puis une autre, la première à la limite perosnne ne la connaissait personne ne voulait l'intégré dans son groupe, mais al deuxième, elle avait tout fait correctement, suivant en cours puisqu'elle n'avait rien d'autre a faire, et ayant des facilitées, elle était devenu rapidement première de sa classe, et cela n'avait pas plus. Elle était sensible, et on l'avait enfoncé... Tout avait finalement mal tourné... Entailles et compagnies, n'avait fait que l'isolée encore plus, l'enfoncer, et c'était un cercle visieux qui s'était créer.

Maintenant ce qu'il lui parraissait le plus était c'était de ne de ne plus avoir de chez soit, une chambre ou s'enfermer ou s'isoler, mais il est vrai que maintenant, elle n'avait plus besoin de s'isolé de ses parents, du collège ou de la vie de tous les jours, mais elle avait eu toujours l'habitude, de le faire, que maintenant ne plus s'isolé meme si elle n'avait rien duquel elle voulait s'isolée, elle était un peu séstabilisé. Elle n'avait plus d'autorité au dessus d'elle, elle était libre, complètement libre. Mais y avait-il quand meme des règles à suivre ici, elle n'en savait rien c'était peut-être possible mais comment les connaitre ?? Tout lui était très bizare encore, que peut^-on faire, que ne doit-on pas faire ?? Était-est ce comme sur terre ou sa liberté s'arreter la où commençait celle de l'autre, mais bon s'était bien cette phrase, sauf qu'elle n'aidait pas vraiment Jennyfer. Ici d'après ce qu'elle avait compris on pouvait se farie tuer, un peu comme si le meutre était autorisé c'était assez bizare de penser ça en sachant qu'on était mort, c'est qu'on pouvait crever à nouveau pour atterir dans un autre style de vie. Peut-être mais sur quel base arrivait-on ici, seulement en mourant ?? Pasqu'elle imaginait mal quelqu'un qui crevait en maison de retraite pasque tout lachait, puisse s'en sortir ici, mais bon c'était peut-être possible elle n'en savait pas assez pour le dire et pour juger quoi que se soit ici, c'est pour ça qu'elle ne pouvait pas encore décider de se tuer ou non mais ce n'était pas la question du jour, elle s'était déjà tuer une fois, elle ne pouvait pas maintenant se tuer pour se tuer, il fallait qu'elle soit vraiment mal, et là on pouvait dire que ce n'était pas tout a fait le cas, c'est vrai que la 'vie de morte' aurait pu etre plus joyeuse, mais bon, elle se sentait déjà un peu mieux que quand elle s'était tué.

Elle qui pensait alors qu'elle était encore en vie que si elle mettait fin a ses jours tout se terminerait, meme si pour elle a se moment là, juste avant de prendre sa décision, sur laquelle elle ne pouvait revenir en arrière, elle aurait souhaiter pouvoir etre heureuse, avoir connu sa avant sa mort, mais tout ce qu'il se passait avait été trop dur pour elle, elle n'avait pas pu le supporter, et finalement au bout d'un moment et après de longues réflexions elle avait fait son choix, elle s'était tué, et cela aujourd'hui elle ne le reggrettait absolument pas, c'était ainsi, elle avait fait son choix, elle savait qu'elle ne pourrait revenir en arrière, lorsqu'elle commencerait à se tuer, et cela l'avait un peu freiner au début, mais une fois que sa décision avait été prise tout s'était passé très vite. Enfin vite façon de parler, elle n'avait plus eut d'interrogation, le faisant juste, comme un simple but, comme si elle mangeait ce qu'il y avait dans son assiète pour un repas sans envie, mais sachant qu'il fallait qu'elle finnisse. Qu'elle en finnisse. Personne ne lui avait laisser sa chance et finalement elle non plus ne s'était pas laisser sa chance, mais c'était trop tard pour avoir des regrets, et puis en y réfléchissant à retourner la question de sa mort dans tous les sens elle ne pouvait pas éprouver grand chose, qu'aurait-elle pu regretter, a part n'avoir jamais connu ce qu'était le bonheur, il n'y a personne qu'elle ait abandonné qu'elle aimait, meme pas ses parents, elle s'en était détacher, mais ne les aimait pas c'était ainsi. Elle ne pouvait pas regretter d'avoir mit fin à ses jours pasqu'elle était malheureuse ça aurait été stupide...Et stupide elle ne l'était pas.

Comment occuper ses journées a présent ? Avant il y avait des bouquins, de la musique, des devoirs, des scarifications, les cours, les problèmes, la télé qui pouvait faire un fond pour ne pas se sentir complètement seule, meme si la réalité était tout autre et du sang toujours du sang. Il est vrai que a force, et tout sa réunnit, prenait du temps. Aujourd'hui, elle ne savait pas trop comment s'occuper, comme etre sur de ne courir aucun danger. Elle n'en savait pas assez de se monde pour etre confiante de quoi que se soit ou où que se soit. Autour de son poignet, un élastique pour les cheveux était entouré, dans une de ses poches elle trouva un peigne. Elle se fit une haute queue de cheval, presque au sommet du crane, ses cheveux retombait presque au plus bas de son dos. Elle rangea le peigne, et se mit à courir à bonne allure; une boucle c'était sympa mais il fallait connaitre le coin pour pouvoir en décrire, et la jeune adolescente ne connaissait hélas pas assez pour pouvoir le faire c'était peut-être dommage, mais c'était ainsi. Là, Jennyfer ne connaissait pas donc elle prenait les chemins comme ils venaient sans se soucier de où elle allait, de toute manière, elle ne cherchait pas à aller quelque part en particulier, se laissant emporter par le vent sur le chemin qui la mènerait peut-être quelque part de dangeureux, mais finalement c'était ainsi, son destin peut-être et puis après tout elle ne pouvait vivre immobile en craignant tout et n'importe quoi, car dans son immobilité elle pouvait etre une proi facile, alors qu'en courant, quelqu'un ou quelque chose qui aurait voulu l'attaquer, devait prendre la peine de la suivre, dans sa course, dont elle seul, meme si elle n'étiat pas sur, savait lorsqu'ellle se terminerait, c'était un avantage après tout. Il est vrai que de courir fatiguait un peu, aussi, mais la jeune fille n'étiat pas bete, elle courait, mais s'arreterai bien avant de n'avoir plus de force et de tomber dans les pommes^^. Elle faisait quand meme attention, de ce qu'elle recontrer et des bruits qui bouvaient etre suspects. Ici qui connaissait elle vraiment ? C'est vrai qu'elle ne restait que très froide avec les gens. Et puis il faut dire que plus elle avançait au rythme de sa course, plus sa lui vidait la tete, elle ne se souciait plus du sang qui coulait de son poignet, qui pourtant l'affaiblissait un peu plus que la normal et le rythme régulier, était berçant à la longue, elle restait éveillé, mais se vidait totalement. Le soufle régulier, elle ne faisait plus vraiment attention à ce qui l'entourait. Comme si à présent, elle était totalement dans un autre univers, son univers vide de tous...Plus de soucis plus rien d'inquiétant pas de bonheur, rien...Mais peu importait est ce que quelque chose qu'elle devrait craindre s'enteterait à la suivre ?? Elle était partie pour courir longtemps. Elle avait un bon rythme, avançait avec aisence mais sans forcer.

Une routine se créait au fur et a mesure que la vie avanaçait, se lever tous les matins de manière électronique, faire son sac, s'habillé, ne pas manger, faiire sa toillette, et ce plus ou moins dans le meme ordre, pour chaque jours sortir à la meme heure, aller en cours, ou pas, mais sortir, prendre l'air pour se changer les idées. Car lorsqu'on ne supporte plus le collège, ni ses parents, on est bien obliger de sortir tot meme le weekend, parfois elle s'endormait dehors, mais cela n'était pas vraiment grave finalement, elle ne faisait de mal à personne, personne ne la redoutait, personne ne lui en voulait profondément elle était quelqu'un à part, en dehors de tout, quelqu'un que personne n'arrivait à serner mais encore à ce moment là elle était quelqu'un...Tout avait changer, tout s'était empirer, finalement c'est peut-être l'instabilité qui ne lui allait pas, pourtant jamais elle n'avait rien montrer, elle avait préféré faire comme si de rien n'était, pourtant au bout d'un moment, elle ne pouvait plus, avec le nombre de cicatrises qu'elle avait sur les bras c'était difficile de faire comme si de rien n'était, et meme les psy n'arrivaient à arranger la situation, elle était silencieuse face à eux, et quand elle leur parlait, elle leur mentait, leur disait que tout allait bien qu'elle était en train de s'en sortir, et peu de temps après elle faisait une fugue ou une tentative de suicide, plus personne n'arrivait à comprendre, et lorsqu'on voulu la faire internet dans un hospital psychiatrique, avant meme qu'on lui en parle, comme si elle l'avait senti, un présentiment ou autre, elle avait mit fin à ses jours avant que cette idée soit vraiment encrée, ses parents avait déjà obtenu une place, et finalement elle ne leur avait servi à rien puisque la jeune fille était morte...Était-est ce de leur fautre, il pouvait vraiment se poser la question, mais dans cette histoire à qui était la faute. Il est vrai que Jennyfer était en partii responsable, c'est elle qui avait décider de mettre fin à ses jours, mais à cause de quoi fallait-il aussi se demander ... Elle n'avait que 16 ans, et on peut dire que la vie peut-être encore longue, on ne pense pas tous les jours que notre mort peut arriver très vite, meme avant nos 16 ans. Des enfant meurent meme à la naissance...

Marcher aussi pouvait bercer mais c'était moins flagrand surtout que sa te vidait d'un peu plus d'énergie de courir, et en plus sa donnait des courbatures lorsqu'on en faisait trop ou qu'on avait pas l'habitue. Et on allait plus vite cela donnait une vision tout à fait différente et qui elle aussi t'emportait dans un autre univers.

Lors de la vie de tous les jours par le passé, elle se rappellait, ill y avait aussi ses moments d'ennuis profond, ou on a rien d'autre a faire que penser, méditer, se rabaisser, lorsqu'on est pas sur de soit, et par le passé, la jeune blonde n'avait pas été sure d'elle. Elle ne l'était toujours pas vraiment, mais ici plus personne n'était la pour la rabaisser, peu se souciaient de ses habits totalement noir. Il y avait eut ses grands moment de doute, de remise en questions du but de la vie, et du pourquoi la continuer...

Aujourd'hui ce n'était pas la question de la vie qu'elle pouvait encore se poser, elle y avait mit fin, et ce elle ne le regrettait absolument pas , mais en un sens elle devait vivre la mort, et elle avait souhaiter non pas terminer la vie, mais arreter de vivre, et ce n'est pas ce qu'il se passait, pouvait on mourir à nouveau, sa elle ne le savait pas, et elle ne voulait pour le moment pas tenter, elle voyait que déjà la ça semblait plus difficile que la vie donc si a chaque fois qu'on mourrait sa empirait, il vallait mieux que maintenant elle apprenne a vivre, malgré tout ce qu'elle pense d'elle meme et tout ce dont elle avait l'habitude. En un sens s'était plus difficile mais elle s'était sortie de toutes ses souffrances du quotidiens, toutes celles qu'ellle ne supportait plus. Elle les gardaient en mémoir, c'était douloureux, mais elle ne pouvait pas les effacer à jamais. Tout changeait, sans vraiment etre différent, mais elle pour le moment n'avait pas vraiment réussit à changer. Bien sur elle l'avait du un tout petit peu, n'ayant plus de cours, plus d'appareils électronique. Mais dans le fond elle était la meme suicidaire, il n'y avait qu'a regarder son poignet qui saignait encore pour s'en rendre compte.

Jennyfer lorsqu'elle sortait croisait des gens, une ville le collège les habitudes

Ici elle avait l'impression que le monde était vide, pourtant il n'y avait jamais un silence parfait c'était assez troublant.

(désolée si j'ai fais long j'avais besoin de taper, pour me libérée désolée pour le double post sa rentre plus mais rasurer vous j'ai fini ^^ escuser aussi si certaines des réflexion n'auraient pas du etre celle de Jennyfer, j'en avais besoin et tant pis si vous lisez pas, et si vous n'y répondez pas, cela aura peut-être sauvez des vie /me tait)